La Capitaine Sabrina, membre du CFMT depuis le 1er février 2021 témoigne sur sa première participation aux comités.
Qui êtes-vous ?
« Je suis la capitaine Sabrina. Je travaille dans un Etat-Major de la Zone de Défense (EMZD), au Bureau Stationnement Infrastructure (BSI). Je m’occupe de coordonner les stationnements relevant du MINARM sur la plaque parisienne. J’occupe actuellement le poste d’expert infra. J’ai eu la chance d’être tirée au sort lors du renouvellement du groupe B du CFMT. Je suis concertante depuis le 1er février 2021 ! »
Comment avez-vous eu l’idée de déposer votre candidature au CFMT ?
« Etant RH de formation, j’avais connaissance du rôle et des missions du CFMT. Un camarade militaire, concertant au CFM du Service des Essences des Armées (SEA), m’a conseillé de déposer ma candidature lors du renouvellement dernier. Il pensait que j’avais la fibre du concertant et que je pourrais contribuer activement à son fonctionnement. Portant un intérêt à la condition du personnel, je n’ai pas hésité. »
Pourquoi avez-vous eu l’envie de devenir concertante ?
« Les sujets étudiés par le CFMT me donnaient l’envie d’y contribuer. Quand je travaillais dans les RH, j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreux militaires avec des parcours très différents. De ce fait, j’aimerais pouvoir apporter mon aide pour trouver des solutions à leurs problématiques, participant ainsi à l’amélioration de la CONDIPERS des militaires de l’armée de Terre. »
Que retenez-vous de votre première réunion des comités ?
« Les réunions des comités de février étaient ma première immersion en tant que concertante. Cette première expérience fut au-delà de mes espérances. Imaginant une instance cloisonnée, j’ai découvert une organisation très moderne : j’ai été agréablement surprise par les moyens utilisés pour travailler sur les 2 thèmes du 64e cycle de concertation : organisation des groupes de travail et outils numériques mis à disposition. J’ai particulièrement apprécié la collaboration et les échanges inter-catégoriels. La liberté de parole qu’il y a entre les concertants, les intervenants et le Secrétaire Général est très valorisante. »
